Passé décomposé
The Walking Dead, c’est une histoire de rescapés. Alors que des hordes de morts-vivants à la morsure assassine déambulent dans les rues, traînant derrière eux leurs membres pourris, un petit groupe d’humains cherchent un refuge. Et bien sûr, ils ne sont pas prêts de le trouver…
L’histoire débute alors que Rick, un policeman prend une balle et se retrouve dans le coma. Il se réveille quelques jours plus tard totalement seul sur son lit d’hôpital. Il actionne la sonnette pour appeler les infirmières mais personne ne répond à son appel.
Il décide alors de quitter sa chambre, mais l’établissement semble complètement abandonné. C’est en pénétrant dans la Cafétéria que Rick comprend un peu mieux de quoi il retourne. Elle est infestée de zombies. Rick s’en sort de justesse.
Décidé à retrouver sa femme et son enfant, il prend la direction de son domicile mais se rend vite compte que la ville entière grouille de morts vivants et de goules cradocs. Il décide alors de prendre la route d’Atlanta, ou ses beaux parents résident, dans l’espoir que les siens auront trouvé abri chez eux.
Deux choses m’ont particulièrement plu dans cette BD :
- L’atmosphère est flippante à souhait : je ne suis pas douillet mais en refermant l’album pour aller me coucher, en grimpant l’escalier qui craque, je n’étais pas trop rassuré.
- Hors de la question principale qui est : « comment le petit groupe de héros va pouvoir survivre dans ce bazar ? » il y a aussi pas mal de choses à découvrir sur les personnages et leurs rapports les uns avec les autres.
Et si vous avez aimé le film de Danny Boyle, 28 jours plus tard. Vous devriez aimer. C’est affreux. Juteux et gore à souhait. Un pur bonheur.
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